Un film de Romano Botinelli Une production Les films du Carry Résumé Thierry, François et Grégory ont prononcé leurs Voeux. Ils sont devenus Soeurs et ont intégré un Couvent.Ces trois hommes ont rejoint, l’Ordre des Soeurs de la Perpétuelle Indulgence, un collectif LGBT+ né à San Francisco en 1979.Ils sont Soeur Pandora, Soeur Lola Rosa […]
Catégorie : Projets de films
Un film de Marie Moreau Une coproduction Les films du Carry et Lyon Capitale TVavec le soutien de la région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Procirep, société de producteurs et de l’Angoa. Résumé Ça serait l’histoire de ce qu’a fait un accident de la route qui a projeté sur le sol une fille.Ça serait en fait […]
« Debout-payé : désigne l’ensemble des métiers où il faut rester debout pour gagner sa pitance ». Le film suit les choses vues, vécues, ressenties, d’un vigile ivoirien. Face à la société consumériste française, au-delà de l’inutilité, des humiliations, …
Amr est Egyptien. Il réside depuis 17 ans en France mais il ne parle pas français. Il n’a pas de papiers. Il est bloqué. « Hier, ce soir » est une histoire d’entraide, car à un certain moment dans un certain quartier avec un certain avocat et un atelier de théâtre amateur, des gens ont donné un coup de main à un gars attachant qui en avait besoin.
À Bure en Lorraine, de très jeunes gens s’opposent à Cigéo, le gigantesque projet d’enfouissement de déchets nucléaires qui doit voir le jour à l’horizon 2025. À des logiques qu’ils jugent imposées et mortifères, ils opposent une tentative fragile et collective pour inventer un futur et reprendre possession de leur vie.
Une famille dispersée entre le sud de la Chine, l’ouest des Etats-Unis, et la France. Une histoire faite de poussières, de photos de familles, de matières d’époques révolues, de gestes et de distance.
La Zone : un port de conteneurs, une usine crachotante, au loin des arbres fruitiers sous des serres de plastique blanc.
En Roumanie, dans les plaines, près de la Mer Noire et de la station populaire et bouillonnante de Costinesti, trois familles vivent aux abords de l’usine abandonnée pour laquelle ils ont travaillé du temps de Ceaucescu.